Le 2 novembre 2024.    SCANDALE : DES CHASSEURS VISENT NOTRE DOMAINE
Ce matin nous avons été témoins d’une situation alarmante : des chasseurs ont pointé encore une fois leurs fusils en direction de notre propriété. Malgré nos appels à stopper immédiatement cette pratique dangereuse, ils ont refusé de coopérer. Après avoir contacté les forces de police, celles-ci ont déclaré n'avoir aucune compétence en la matière et se sont contentées de constater la présence des chasseurs. De son côté, la DNF (Département Nature et Forêts) a refusé d’intervenir sous prétexte que les tirs n’étaient pas dirigés vers nos bâtiments, mais bien vers les prairies et bois environnants (qui nous appartiennent).
Pourtant, cette situation n’est pas nouvelle. Il y a plus d’un an, nous avons découvert avec stupéfaction l’installation de miradors placés à la lisière de notre domaine et pointés vers nos terrains. Inquiets pour la sécurité de nos animaux, de notre équipe, et de nos nombreux visiteurs, nous avons alerté la DNF à plusieurs reprises. On nous a d’abord répondu avec mauvaise foi que cette parcelle boisée ne nous appartenait pas, alors qu’elle est bien sous la propriété de Marc Beelen, propriétaire du refuge. Les miradors sont effectivement situés à la limite de notre terrain, mais leur orientation vers nos pâturages crée un risque constant et intolérable.
À l’époque, face à l’immobilisme, nous avions sollicité l’intervention de Claudy Noiret, alors Bourgmestre, qui a promis d'organiser une réunion spéciale sur la chasse avec la DNF. Nous n'avons même pas été invités à cette réunion. Par décence, nous avions gardé le silence et évité de porter cette affaire sur la place publique, en particulier avant les élections comme depuis le début de cette affaire n’en n’avons pas évoquer que ce soit dans la presse ou les réseaux sociaux
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Nous avons également déposé plainte auprès du Procureur du Roi, demandant à être tenus informés des suites. À ce jour, nous n’avons reçu aucun retour.
Aujourd'hui, face à la persistance et au manque de bonne foi de certaines autorités compétentes, nous dénonçons publiquement cette situation. Nous demandons l’appui de tous pour exiger que les chasseurs cessent de viser notre propriété et que les traqueurs ne pénètrent plus sur notre terrain. Le risque d’accidents est réel : une balle perdue pourrait provoquer de graves blessures, voire des décès, touchant aussi bien nos équidés, notre personnel que nos nombreux visiteurs.
Lundi, nous saisirons notre cabinet d’avocats, car cet incident est la goutte qui fait déborder le vase.
Nous faisons appel à votre soutien pour protéger notre refuge et garantir la sécurité de tous. N ous ne pouvons pas accepter que face à ce danger certains méprisent les lois et se croient autoriser de tout faire

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